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Le palmarès de l’équipe de rugby à XV d’Angleterre fait rêver. Quatrième au classement international et premiers de l’hémisphère nord, les anglais ont à leur actif 35 victoires dans le Tournoi des Six Nations, la dernière en 2011. Après une tournée d’été plus que réjouissante – trois victoires – grâce à une équipe rajeunie, la tournée de novembre s’annonce bien pour les anglais.
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ab €En 2013, le XV de la Rose n’avait pas pu réitérer l’exploit de 2012 en battant de nouveau la Nouvelle-Zélande. Les Anglais s’inclinaient pour la 28ème fois contre des All Blacks au meilleur de leur forme. En revanche, ils dominaient l’Argentine en début de tournée et trouvaient une nouvelle fois la faille australienne en s’imposant face aux Wallabies 20 à 13. Un résultat global très positif pour le XV d’Angleterre.
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La tournée démarre fort pour le XV anglais avec un match contre la Nouvelle-Zélande le 8 novembre ! C’est une nouvelle chance pour David Strettle, Billy Twelvetrees, Jonny Wilkinson et leurs coéquipiers de réaliser l’exploit ! Mais il faudra grader du tonus pour les jours suivants, notamment pour le match contre l’Afrique du Sud le 22 novembre, puis contre l’Australie le 29, équipe tout aussi coriace. Si les Anglais ne perdent pas tous leurs moyens face aux All Blacks, ils peuvent réaliser une bonne tournée. Ce qui serait de bon augure pour la coupe du Monde à venir !
Angleterre Rugby – Stade de Twickenham Londres
Situé au Sud-Ouest de Londres, Twickenham est le stade de rugby par excellence puisqu’aucun autre sport n’y a droit de cité. Cette enceinte de 82 000 places a vu les grandes heures du XV de la Rose : on se souvient des 19 victoires consécutives à domicile de l’équipe d’Angleterre entre 1999 et 2004. Même les meilleurs rugbymen du monde ne peuvent pas grand chose face à un stade entier entonnant un souverain Swing Low Sweet Chariot, hymne d’encouragement du XV anglais. Quiconque dispute un match à Twickenham sait que le combat sera rude.
Le souvenir d’une belle victoire contre la Nouvelle-Zélande en 2012
En 2012, les joueurs de Stuart Lancaster perdaient leurs deux premiers matchs mais remportaient fièrement le dernier jeu contre la Nouvelle-Zélande. Forts de ce souvenir de victoire, les anglais devraient briller cette année sur leurs terres. Ils joueront le tout premier match de la série de novembre contre l’Australie le 2 novembre à Twickenham. Ils rencontreront ensuite l’Argentine le 9 et enfin la Nouvelle-Zélande le 16 novembre pour un match très attendu entre ces deux équipes phares.
Le premier match contre l’Australie s’annonce corsé pour l’équipe d’Angleterre. Les Wallabies, qui avaient battu l’Angleterre l’an dernier 20 à 14, se sont en effet montrés très forts cette année. Il faudra surtout se méfier de l’excellent centre-arrière australien Kurtley Beale. Mais l’Écosse dispose aussi d’un effectif très efficace, et des joueurs comme l’allier Marland Yarde, qui a fait ses preuves en juin contre l’Argentine, pourrait bien surprendre les australiens. Contre l’Argentine, en revanche, l’Angleterre devrait faire bonne figure, les Pumas ayant un peu de mal à obtenir des résultats sur le terrain et trainant toujours dans le bas du classement international.
Comme l’an dernier, les anglais finiront le tournoi par un match difficile mais qui promet d’être spectaculaire : le choc Angleterre-Nouvelle-Zélande. Les All Blacks, champion du monde en titre, disposent de quelques-uns des meilleurs joueurs au monde comme Dan Carter et Richie McCaw, principaux artisans de la réussite de leur équipe ses dernières années. Face à eux, l’Angleterre pourrait tout de même se frayer un chemin vers la victoire tout comme l’an dernier : les anglais remportaient alors leur match contre la Nouvelle-Zélande à la surprise générale 38 à 21. David Strettle, Billy Twelvetrees, Jonny Wilkinson et leurs coéquipiers joueront une nouvelle fois leur chance à fond. Les supporters seront présents au stade de Twickenham pour les encourager.
L’équipe de rugby à XV d’Angleterre a déjà remporté 35 fois le tournoi des Six Nations. Mais depuis 2011, plus rien. Ils feront leur maximum pour briller en 2016.
En 2015, l’Angleterre avait terminé le tournoi une nouvelle fois à la deuxième place. Cette fois-ci, ils n’auront pas su trouver la solution face à une équipe irlandaise dominant le rugby européen depuis deux ans. Cependant ce fut la seule mauvaise surprise du tournoi. Ils sont allés gagner au Pays de Galles et ont remporté tous leurs matchs à domicile. Le match légendaire, lors de la dernière journée face au XV de France, n’aura pas suffit pour mener les Anglais à la victoire finale. Le XV de la Rose a dû se contenter de la seconde marche du podium, pour la troisième année consécutive. En 2016, après une Coupe du Monde à domicile, l’équipe d’Angleterre n’aura donc qu’un seul et unique objectif : ne pas perdre un seul match et finir premier !
En 2016, les Anglais se déplaceront le samedi 6 février à Murrayfield pour affronter l’Écosse. La semaine suivante ils joueront l’Italie le dimanche 14 février au Stade Olympique de Rome, une équipe qui leur a toujours réussite. Deux tours de chauffe dirons-nous avant de se frotter aux concurrents les plus sérieux : l’Irlande et le Pays de Galles. Avantage pour l’Angleterre, le XV de la Rose recevra ces deux adversaires à domicile ! Tout d’abord l’Irlande le samedi 27 février puis le Pays de Galles le samedi 12 mars.
Last but not Least : les Anglais joueront une nouvelle fois leur tournoi face aux Français ! Des deux côtés, la motivation sera grande. Les Anglais auront à cœur de terminer sur une victoire et d’éviter toute erreur tactique. Les Français quant à eux saisiront peut-être leur dernière chance de réaliser une belle performance. Après le 55 à 35 de la dernière édition, on s’attend à un match de folie !
L’équipe de rugby à XV d’Angleterre a déjà remporté 35 fois le tournoi des Six Nations. Mais depuis 2011, plus rien. Ils feront leur maximum pour briller en 2014.
En 2014, L’Angleterre avait commencé le tournoi sur une défaite face aux XV de France. Une surprise pour les Anglais qui s’attendaient à un match plus à leur portée. Mais ce fut la seule mauvaise surprise du tournoi. Ils ont ensuite remporté leurs matchs contre le Pays de Galles, l’Écosse, L’Italie et l’Irlande. Mais cette défaite au départ leur a probablement coûté la première place du tournoi, finalement dévolue aux Irlandais. Les Anglais ont dû se contenter de la seconde marche du podium, pour la deuxième année consécutive. En 2015, le XV de la Rose n’aura donc qu’un seul et unique objectif ne pas perdre un seul match et finir premier. Sinon rien !
En 2015, les Anglais ouvriront le tournoi le 6 février en se déplaaçant à Cardiff pour rencontrer le Pays de Galles, autre candidat à la victoire finale, vainqueur en 2012 et 2013. Le 14 du même mois, le XV de la Rose sera de retour à domicile pour accueillir l’équipe d’Italie. On s’attend ici à match dominé par les Anglais, mais attention aux mauvaises surprises. Le 14 mars, on verra la rencontre toujours très attendus entre l’Écosse et l’Angleterre, ennemis jurés sur le terrain de rugby, après un dernier déplacement du XV de la Rose en Irlande le 1er mars
Last but not Least : le match France – Angleterre qui avait lancé le tournoi 2014 viendra clore l’aventure en 2015. Des deux côtés, la motivation sera grande. Les Anglais auront à coeur de terminer sur une victoire et d’éviter toute erreur tactique. Les Franaçais quant à eux saisiront peut-être leur dernière chance de conserver une bonne place au classement. Un beau match en perspective !
En 2013, la première place du tournoi des Six Nations passe sous le nez des anglais. Alors qu’ils avaient remporté leurs quatre premiers matchs, ils échouent lamentablement contre le Pays de Galles à Cardiff sur le score humiliant de 30 à 3 et ratent ainsi un nouveau grand Chelem. Grande déception pour les anglais qui avaient pourtant produit un très beau rugby en début de tournoi, notamment contre le XV de France. En 2014, ils tenteront de nouveau de réaliser le Grand Chelem, ce qui n’est pas arrivé depuis 11 ans.
L’Angleterre jouera contre le XV de France lors de la première journée du tournoi le 1 février 2014 au Stade de France à Paris. Peu performants ces derniers temps, surtout en tournoi, les français seront, à domicile, soutenus pas leur public et livreront peut-être un meilleur jeu, plus offensif.
Les deux matchs suivants sont à la portée des anglais. Le XV de la rose se déplacera à Edimbourg au stade Murrayfield pour rencontrer l’Écosse. En progrès constant, le XV du charbon terminait l’an dernier troisième du tournoi grâce à deux victoires contre l’Irlande et l’Italie, juste derrière les Anglais.
Mais l’Angleterre part favorite. Le 22 février, Ils accueilleront pour la troisième journée l’Irlande au Stade de Twickenham. Attention toutefons aux irlandais qui ont rencontré beaucoup de difficultés l’an dernier et ont terminé en bas du tableau et voudront certainement redorer leur blason.
Avant de se rendre à Rome pour le dernier match du tournoi contre l’Italie, les anglais rencontreront le champion en titre, le Pays de Galles. Le XV du poireau avait remporté l’an dernier le tournoi au nez et à la barbe des anglais. Le goût amer de la défaite étant tenace, les anglais auront à cœur en cette quatrième journée de gagner leur match à domicile contre les gallois. Mais ces derniers ne se laisseront pas faire, visant la victoire pour une troisième année consécutive. Et ils disposent pour cela de joueurs d’exception comme Alex Cuthbert, George North, Jamie Roberts ou encore Sam Warburton, qui donneront du fil à retordre aux anglais.
Le sélectionneur Stuart Lancaster a intégré six jeunes joueurs à l’effectif : Dave Attwood (Bath), Matt Kvesic (Gloucester), Billy Vunipola (Saracens), Kyle Eastmond (Bath Rugby), Christian Wade (London Wasps) et Marland Yarde (London Irish). Ce fut selon lui un choix difficile, mais réussi, à en juger par les performances de Marland Yarde lors du match contre l’Argentine en juin dernier.
On restera aussi attentif au parcours du demi d’ouverture Owen Farrell qui s’était distingué l’an dernier comme l’un des meilleurs joueurs du tournoi. Mais d’autres comme Manu Tuilagi, le demi de mêlée Ben Youngs et Dan Cole, qui ont également leur place chez les Lions britanniques, feront jouer leur expérience.